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Le palais de poussière est un plateau de jeu exclusif composé de nombreuses maquettes et énigmes constituant ensemble le vocabulaire d'un récit décousu du monde démesuré où nous ne sommes pas invité.es quel dommage car nous sommes déjà de calmes cendres. C'est le palais du serpent qui mangeat l'oubli. C'est le palais de Brigitte aux yeux noirs. Ille y résonne les cornemuses du diable. Une narration se profile, cryptique, tergiversant autour de ces postulats: - Les humain.es sont déja morts - Les monstres repeuplent le monde - l'échelle est anéantie - le monde est une danse - les choses de la démesure meurent - les kilomètres à la ronde sont déjà des ruines - les formes échoent sans les humain.es - l'histoire est une grande fiction mégalomane - tout est le souterrain de quelque chose d'autre - la gravité et la danse sont les seules excuses qui vaillent - le monde ne se répète jamais - l'entrelacs vibre par la terre le palais de poussière est une ambition mégalomane de dévorer le monde mètre-carré par mètre-carré alors que le temps-espace n'est plus aux humain.es ni aux échelles. Brigitte aux yeux noir chante leur engloutissement pour le meilleur de son plaisir. |